Eli Roth, réalisateur américain connu non seulement pour ses œuvres d’épouvante/horreur (Hostel, Cabin Fever ou encore The Green Inferno) mais aussi pour sa collaboration avec le duo Tarantino/Rodriguez sur le film Inglorious Basterd, opère un virage plus que serré en s’attaquant avec La Prophétie de l’Horloge à un format de film beaucoup plus familial et conventionnel.
Seulement quelques mois après Death Wish (avec Bruce Willis), Eli Roth, connu notamment pour avoir réinventé le cinéma d’horreur avec Hostel et Cabin Fever, décide de se lancer dans l’adaptation d’un conte fantastique tiré du roman gothique du même nom publié en 1973 par l’auteur John Bellairs.
« Elevé par son oncle Jonathan, un authentique magicien, Lewis a grandi dans un monde fait de magie et de merveilleux. Mais quand le jeune garçon découvre que leur propriétaire, un sorcier du nom d’Isaac Izard, pourrait déclencher la fin du monde, une course contre la montre s’engage pour empêcher que ce plan maléfique n’aboutisse. »